Printemps libertaire : la permanence culturelle dans l’histoire de la gastronomie

Développer une culture de la bonne cuisine peut nous aider à survivre.

Le 18 mai a eu son espace méridien d’échange. C’est dans la maison chaleureuse de l’un de ses organisateurs qu’a eu lieu le 2e des 5 événements de ce 1er ” Printemps libertaire”, organisé en mai-juin 2014 par l’Atelier libertaire Alfredo López, la galerie du Christ Sauveur et le réseau de l’Observatoire critique de Cuba.

En présence de la professeur en permaculture Myriam Cabrera Viltre et des organisateurs Jimmy  Roque et Isbel Díaz Torres, de nouvelles inventions ont été approfondies à propos de l’art écologique nutritionnel. Cet art qui fut maltraité par les dynamiques du développement et une humanité ambitieuse et vicié. Dynamiques qui ont été permises grâce aux comportements nocifs et à l’indifférence gouvernementale.

De la documentation sur la “cuisine permaculturelle” fut distribuée. Les droits sur ces ouvrages étaient cédés par leur auteure. Grâce aux efforts communs de l’Atelier solidaire, les tâches furent  démocratiquement prises en charge par le groupe de trente personnes qui étaient présentes.

Les photos des réalisations obtenues durant cette expérience alimentaire magique parle par elles-mêmes : sauver l’organique et le naturel sera notre mission future si nous voulons réduire les causes des maladies développées par des intoxications évitables, et nous nous engageons afin de ne pas perpétuer ces pratiques dangereuses, afin de ne plus assister à la détérioration progressive de notre qualité de vie, afin d’éviter la fin de l’humanité. Bien sûr, tout cela ne sera possible que si les états se réveillent de leur sommeil et disposent d’énergies et de ressources pour le sauvetage de ce qui est perdue.

Tout est déjà entre nos mains.

Photos prises par Pedry :


Enrique   |  Actualité, Politique, Écologie   |  05 22nd, 2014    |